Alain Rouschmeyer – Chemin faisant, entre posture et espace partagé
Camille Rouschmeyer – Entre passion de la nature et vie du lac
Alyne Auromischer – Entre théâtre du monde et fiction intérieure
Alain Rouschmeyer - des oeuvres sur papier et encadrés
alain rouschmeyer
artiste peintre figuratif contemporain
Chemin faisant – une quête entre posture humaine et espaces traversés
Je peins la présence. Une posture, un angle, un espace traversé. Ma peinture figurative, ancrée en Haute-Savoie, cherche ce moment suspendu où le corps se pose sans bruit dans un lieu. Rien d’héroïque : juste un souffle, un équilibre, un dialogue entre l’humain et ce qui l’entoure. C’est là, dans ce presque rien, que j’ancre mes toiles contemporaines.
Dans un même atelier, trois sensibilités cohabitent.
Trois gestes singuliers, portés par un même silence.
Alain Rouschmeyer, Camille Rouschmeyer et Alyne Auromischer : trois voix qui, chemin faisant, composent un dialogue sensible entre posture, matière et regard.
Camille Rouschmeyer explore la nature comme une mémoire en mouvement. Je cherche la présence, la posture dans l’espace.
Et Alyne Auromischer ?
Elle, c’est un autre versant. Une voix intérieure, un jeu de miroir.
Son nom est l’anagramme du mien.
Elle signe mes rêves dérobés, mes figures déplacées.
Sa peinture déploie un monde onirique et oublié, mais dont la théâtralité reste très vivante.
Camille Rouschmeyer
Camille Rouschmeyer peint la nature comme une mémoire sensible.
Ses toiles captent l’instant entre deux souffles : un reflet sur le lac, l’éclat d’un ciel en mouvement, la densité du végétal, les oiseaux du lac.
Sa peinture explore la matière dans ses silences, dans sa lenteur, comme un écho intime du monde vivant.
Chaque paysage devient un lieu traversé, habité par l’émotion discrète des éléments.
Alyne Auromischer peint les figures du trouble, du masque et de la mémoire flottante.
Ses scènes semblent venir d’un ailleurs intérieur, à la fois théâtral et secret.
Elle signe mes rêves dérobés, mes figures déplacées.
Sa peinture déploie un monde onirique et oublié, mais dont la théâtralité reste très vivante.
Alyne Auromischer
OEUVRES VISIBLES : TROIS UNIVERS, TROIS ÉCRITURES
Une sélection d’œuvres originales — toiles et créations sur papier — disponibles à la vente.
Trois univers, trois écritures figuratives, entre lumière intérieure, paysages sensibles et scènes oniriques.
Chaque tableau est unique, signé, et prêt à rejoindre une collection ou un lieu à habiter.
Prenez le temps de regarder. Laissez venir celle qui fait écho en vous.
Alain Rouschmeyer – La fille dans les draps bleus, toile 100 × 100 cm
Alain Rouschmeyer – La vieille maison à Duingt, encre sur papier
Camille Rouschmeyer – La caresse des nuages, toile 60 × 80 cm
Alyne Auromischer – Noces, toile 100 × 100 cm
DANS L’ATELIER… LE BLOG
L’OEUVRE DU MOIS DE JUIN: “DÉCROCHAGES
Élan suspendu, tension douce, fragments d’un équilibre en mouvement...
« Décrochages » (2021) explore l’instant où tout vacille.
Cette toile de grand format, saluée lors de son exposition initiale, vous invite à reconsidérer la gravité — intérieure comme extérieure.
🎁 En cadeau avec cette œuvre : une œuvre sur papier encadrée, sélectionnée par l’artiste, ainsi qu’un exemplaire signé du catalogue « Alain Rouschmeyer – Artiste ».
💌 Un mot manuscrit de l’artiste accompagne chaque acquisition.
Découvrez une sélection de peintures figuratives contemporaines à vendre, œuvres originales disponibles directement auprès de l’artiste.
LA LETTRE DE L’ATELIER
Derrière chaque toile, il y a un chemin,
une marche, une hésitation, une lumière entrevue.
Régulièrement, j’ouvre une fenêtre sur ce parcours.
Si ces fragments d’atelier vous inspirent, vous pouvez vous abonner.
On entend souvent cette formule : « L’art pour tous. »
Elle semble pleine de bonnes intentions. Elle sonne généreuse, démocratique, ouverte.
Et pourtant, chaque fois que je l’entends, elle me met mal à l’aise.
Parce que sous cette apparente bienveillance, je ressens une injonction. Une réduction. Une trahison.
On ne dit jamais : « Une Ferrari pour tous », ou « Un vin de garde pour tous ».
Alors pourquoi faudrait-il que l’art, lui, se rende universellement accessible, au risque d’en perdre sa complexité, sa profondeur, son exigence ?